"Il est important de se sentir à l'aise dans le monde.

"Il est important de se sentir à l'aise dans le monde.

Julie Depardieu a révélé pourquoi elle ne veut pas dire "papa" quand elle parle de Gérard Depardieu.

Il n'est pas toujours facile d'être qualifié de "fils/fille de", et ce n'est pas Julie Depardieu qui dira le contraire. Sa ressemblance avec son père, notamment à cause de son nez, lui a valu quelques complexes, au point qu'elle a dû passer cinq fois sous le bistouri.

Cela ne signifie pas pour autant qu'elle renie ses origines, même si l'actrice a avoué avoir eu "un peu honte" dans sa jeunesse. Julie Depardieu a révélé au magazine Femme Actuelle quel trait de personnalité Gérard Depardieu lui avait transmis. "Grâce à mon père, il m'est plus facile de parler à un voiturier qu'à un homme qui s'intéresse à moi parce que je suis censée représenter quelque chose. Je veux enseigner à mes enfants ce qu'il m'a appris : Tout est plus facile quand on est simple ! Peu importe qui on est. On parle à tout le monde. J'ai toujours vu mon père comme ça. C'est un type - il n'y en a pas deux comme lui. Il est gentil, avec tout le monde : clochard, pecnot, prince ? tous les gens l'intéressent", expliquait-elle fièrement.

Malgré l'affection qu'elle éprouve pour lui, Julie Depardieu s'interdit étonnamment le droit de l'appeler "papa". Celle qui a beaucoup souffert de sa jalousie maladive en amour a justifié ce fait inattendu en disant : "Parce qu'il ne m'appartient pas". La belle blonde a toutefois ajouté : "Bien sûr, ce n'était pas facile quand nous étions petits, car "tu comprends, il ne peut pas refuser un tel rôle". C'est vrai qu'il est devenu un monument. J'ai voyagé une fois avec lui en Russie. C'est incroyable la dimension qu'il a à l'étranger". J'aimerais ne plus parler de lui, mais je ne peux pas dire non : d'une certaine manière, il est devenu un personnage public".

Cela fera certainement plaisir à l'intéressé, surtout si l'on considère qu'elle l'a blessé avec une déclaration à son sujet, sortie de son contexte, dans laquelle elle disait qu'il serait mort dans cinq ans. Tout est bien qui finit bien !