Escort à Dubaï : Milla Jasmine accuse une femme jalouse, Marine El Himer en rajoute une couche

Escort à Dubaï : Milla Jasmine accuse une femme jalouse, Marine El Himer en rajoute une couche

Alors qu'une affaire de scatophilie en masse circule sur les réseaux sociaux, Milla Jasmine ainsi que Marine El Himer et sa sœur jumelle ont enfin brisé le silence sur les accusations portées contre elles.

Ces derniers jours, une sombre affaire a été mise au jour. Il s'agit des "Dubai Porta Potty", inspirés des toilettes publiques portables trouvées sur les chantiers. Wassim TV a mis le feu aux poudres en expliquant qu'il s'agit d'une pratique qui a lieu à Dubaï. Le procédé serait utilisé par des milliardaires qui paieraient des influenceuses pour qu'elles se livrent à des pratiques sexuelles, scatophiles et parfois même zoophiles.

"La plupart des influenceuses que vous voyez sur les réseaux sociaux sont en fait des escortes. Elles sont payées pour passer du temps avec des milliardaires à Dubaï. Mais quand elles veulent plus d'argent, elles doivent pas mal de choses. On peut voir un homme faire caca dans la bouche d'une femme. Et ce n'est qu'en acceptant cela qu'ils peuvent gagner 20.000 dollars en une soirée", a clarifié le blogueur.

Mais l'histoire serait allée plus loin, puisque Milla Jasmine, Océane El Himer et Marine El Himer auraient été citées. Jeremstar s'en est également mêlé.

De son côté, Milla Jasmine s'est défendue en prenant la parole sur Instagram. Elle a déclaré : "Aujourd'hui, c'est un inconnu, un YouTuber minable et illégitime, qui a décidé de vous faire croire qu'il connaît le vrai business des influenceuses françaises à Dubaï (...) Les Français nous connaissent et savent que nous gagnons notre vie avec la télévision et les divers placements de produits. Tout le monde parle de nos salaires exorbitants (...) Mais pouvez-vous encore croire aujourd'hui que nous vivons à Dubaï parce que nous faisons des choses immorales pour cela ?", s'est insurgée la femme de Lorenzo.

Marine et Océane El Himer ont partagé un message commun dans lequel on pouvait lire : "La liberté d'expression a ses limites tant que la rumeur relayée est fausse, diffamatoire et porte atteinte à la vie privée, à l'intimité et surtout à la dignité d'autrui". Les trois principales personnes concernées auraient d'ailleurs porté l'affaire devant les tribunaux.

GZ