Affaire Jubillar : Cette phrase terrible qui prouve que Delphine était bien décidée à mettre fin à sa relation avec Cédric

Affaire Jubillar : Cette phrase terrible qui prouve que Delphine était bien décidée à mettre fin à sa relation avec Cédric

Dans son livre "Le secret Jubillar", Ronan Folgoas relate les échanges téléphoniques houleux entre Delphine et son mari peu avant le 15 décembre 2020.

Delphine Jubillar est portée disparue depuis le 15 décembre 2020. Depuis, son mari Cédric est le principal suspect dans cette affaire. L'un des motifs évoqués serait une volonté de divorcer. Une décision qui aurait poussé le mari de la "victime présumée" à passer à l'acte. Convaincu que sa compagne avait un amant, l'artisan avait tenté de localiser le téléphone portable de l'infirmière. Ronan Folgoas, auteur du livre "Le mystère Jubillar", paru le 17 mars aux éditions Studiofact, explique cet acte en détail. "Delphine Jubillar aurait dit à son mari au téléphone : "Je me fous de ton amour ! Je suis au travail". Laisse-moi tranquille. Demain, j'appellerai un avocat. C'est mort, il n'y a pas de retour en arrière", avait-elle ajouté.

Peu après, Delphine Jubillar avait reçu une notification inquiétante. La jeune femme n'a pas été dupe et a immédiatement réagi : "C'est toi qui demandes une autorisation de géolocalisation ?", a lancé Ronan Folgoas. Loin d'assumer sa responsabilité, le peintre en bâtiment tente de faire diversion en accusant sa mère, Nadine, "qui ne se défile pas, mais est prête à endosser le rôle peu enviable de belle-mère espionne".

Il est prêt à tout pour retenir la jeune femme et tente d'apaiser les tensions. Pour ce faire, Cédric Jubillar joue la carte de l'amoureux transi. "Sache que je t'aime beaucoup, je ferai tout ce qu'il faut, je suis désolé. Je veux te montrer que tu peux me donner une deuxième chance ... Et tu sais que ma mère ne fait jamais rien d'intelligent ... Je suis désolée qu'elle veuille m'aider ... Et j'ai besoin de toi".

Ronan Folgoas s'intéresse aux messages échangés entre Delphine et son mari. Le journaliste du Parisien évoque également les conversations que la disparue aurait eues avec la femme de son amant. Celle-ci avait notamment tenté de mettre fin à leur liaison. Elle avait dit : "S'il vous plaît, ne poursuivez pas cette liaison maintenant. Je ne peux vraiment pas le faire. Laissez-moi assumer les premiers coups avant de m'en donner d'autres". Et de conclure : "Nous avons tous deux convenu que tant que nous vivrons ensemble, nous serons une famille. J'accepterai tout ce qui viendra après. [...] Laisse la place libre avant de la prendre.

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