Dominique Tapie dans la rue : cet ancien ministre qui a volé au secours de la veuve de Bernard Tapie

Dominique Tapie dans la rue : cet ancien ministre qui a volé au secours de la veuve de Bernard Tapie

Selon les révélations de Paris Match, Dominique Tapie croulerait sous les dettes laissées par son mari après son décès. Le magazine a révélé qu'un proche du couple, ancien ministre de Nicolas Sarkozy, était venu en aide à la veuve pour lui trouver un logement.

Le dernier numéro de Paris Match, en kiosque ce jeudi 10 février 2022, provoque un petit séisme au sein de la famille Tapie. Le magazine et la journaliste Sophie des Déserts ont révélé que les héritiers de l'ancien ministre de François Mitterrand crouleraient sous les dettes laissées par l'homme d'affaires. L'enquête a révélé qu'à sa mort, Bernard Tapie avait légué une fortune de 300 millions d'euros à sa femme et à ses enfants. Problème : l'ancien ministre de la Ville a également laissé derrière lui 600 millions de dettes, liées entre autres à des litiges dans l'affaire du Crédit lyonnais. Des révélations qui ne sont pas du goût de la fille de l'ancien patron de l'OM, qui a rédigé un texte assassin sur son compte Instagram. "Comment as-tu pu tomber si bas ? Huit pages glaçantes et très pénibles. Si loin de tes livres d'antan ! Je t'imaginais plus talentueuse", a écrit Sophie Tapie.

Dominique Tapie à la rue depuis la mort de son mari ?

Paris Match a révélé que Dominique Tapie, la veuve de Bernard Tapie, n'aurait plus de toit depuis que ses biens immobiliers ont été liquidés ou saisis par la justice. Heureusement pour elle, la mère de Stéphane Tapie peut compter sur de solides amitiés, notamment celle qui la lie à Jean-Louis Borloo, ancien ministre de Nicolas Sarkozy et ami du couple Tapie depuis 45 ans.

"On ne laisse pas tomber la femme d'un pote", a expliqué Jean-Louis Borloo. L'ami de longue date aurait donc loué un appartement sur la rive gauche pour Dominique Tapie. Dans le cas contraire, elle n'aurait pas de toit, précise l'enquête de Paris Match, puisqu'elle doit quitter dans les prochains jours l'hôtel particulier parisien dans lequel elle vivait du côté de Saint-Germain des Prés.